D’abord très prudente sur une intervention en Syrie, à laquelle l’Allemagne de toute manière ne participera pas, la chancelière Angela Merkel a durci le ton. Mais qu’elle se montre solidaire des alliés ou qu’elle fasse bande à part, elle court le risque soit de s’aliéner une opinion publique allemande plutôt pacifiste, soit de mécontenter les Américains. Un vrai dilemme, estime Judy Dempsey,...