Le Parlement turc a autorisé, pour la troisième fois en trois ans, le gouvernement à intervenir militairement à l’étranger, en l’occurrence en Syrie. Mais cette autorisation reste théorique aussi longtemps que les autorités turques considéreront que les Kurdes et le PKK sont plus dangereux que les djihadistes de l’Etat islamique. Un commentaire d’Aron Lund pour Carnegie Endowment for International...