L’opposition syrienne modérée n’a pas la capacité de combattre sur deux fronts, contre le régime de Damas et contre les djihadistes de l’Etat islamique. Mais la coalition d’anciens adversaires qui est en train de se mettre en place pour affronter l’EI pourrait vite se rendre à l’évidence que Bachar el-Assad n’est pas un allié fiable, pas plus que l’était Nouri el-Maliki en Irak, écrit Basma...