"Tandis que les médias fidèles au régime de Poutine saluent comme une marque de libéralisme l’abaissement considérable, au cours des discussions parlementaires, des peines maximales contenues initialement dans le projet de loi, une quantité de clauses supprimant de facto le droit de manifester ont été inscrites, écrit le FAZ. C’était plus de la théorie que de la pratique jusqu’à aujourd’hui, mais c’est visiblement déjà trop dangereux pour Poutine, qui a pu voir dans les mois précédant sa réélection à quelle vitesse la théorie peut se transformer en pratique. La justice dispose désormais d’un instrument pour accuser les organisateurs de manifestations, même pour les actes des participants ivres."