"La BCE a raté l’occasion de réduire son taux trop élevé, écrit le Financial Times. Cela aurait été judicieux, car relancer la croissance est une condition nécessaire pour mettre fin à la crise de la zone euro. Un taux directeur inférieur aurait en outre pu inciter les banques à se prêter davantage. D’un point de vue politique, il aurait été plus simple pour le président sortant Jean-Claude Trichet de procéder à une réduction que pour son successeur italien Mario Draghi. Les actions actuelles de la BCE ne sont toutefois pas négligeables. … Trichet a ainsi déclaré être un grand partisan de l’idée d’un développement du FESF - et pas seulement avec des fonds de la BCE. Si ses remarques permettent de mettre en œuvre cette proposition, cela ne sera pas une petite contribution à la stabilité financière de la zone euro."