"Cette nouvelle époque offre de grandes opportunités au journalisme, affirme le quotidien. Les informations sont facilement accessibles et les médias peuvent collaborer de façon inédite avec les lecteurs. Mais nous ne sommes pas tous journalistes. Les médias sociaux ne peuvent pas remplacer le processus, la structure et la connaissance qui constituent la base du journalisme d’investigation. Les politiques ne réagissent pas. La ministre de l’Education de la culture évoque une enquête en cours, censée déterminer si les médias en ligne doivent obtenir un soutien public. On veut élaborer un nouveau système qui ne sera effectif que dans quatre ans. … Le journalisme ne doit pas forcément s’exprimer en format papier. Mais une chose est sûre, une démocratie forte a besoin de rédactions fortes. Au-delà des limites des partis, et en collaboration avec les grands acteurs du secteur des médias, il faut désormais passer aux actes." (26.11.2012)