« Après l’échec de Copenhague l’année dernière, tout laisse présager un résultat semblable cette fois-ci, souligne le quotidien espagnol. Par rapport au niveau démographique, aux émissions et aux prévisions de croissance, certains des plus grands pays émergents s’opposent à un accord contraignant qui remplacerait le protocole de Kyoto ».
« Mais la raison de la paralysie, écrit l’éditorialiste, c’est surtout le manque de volonté de la part des Etats-Unis à s’imposer une quelconque limitation. … Il est inacceptable que l’on détourne l’attention de la nécessité de changer la nature de la consommation énergétique, aussi bien industrielle que privée. C’est la seule mesure efficace, même si elle est difficile à mettre en œuvre."
