Pour lutter contre les tendances protectionnistes consécutives à la crise économique et financière, il recommande d’utiliser les négociations internationales sur le changement climatique pour ouvrir un nouveau chapitre de libéralisation, en définissant un code international pour les industries et les produits verts. Il remarque qu’au cours des dernières décennies, les échanges internationaux ont augmenté en moyenne trois fois plus vite que la richesse mondiale. A la suite de la crise, ils ont diminué quatre fois plus vite. Il est donc indispensable de préparer une relance du commerce au moment de la reprise.