Selon une enquête menée par le quotidien de Munich Süddeutsche Zeitung, 50% des entreprises de ces branches devraient renoncer à honorer leurs engagements à cause de la crise économique. En novembre, les partenaires sociaux s’étaient mis d’accord sur deux augmentations de 2,1%, l’une prenant effet au 1er févier, l’autre au 1er mai. L’accord prévoyait que la seconde augmentation pouvait être repoussée de sept mois « en cas de difficultés économiques ». Toutefois cette décision ne pouvait être prise par la direction des firmes qu’en accord avec les comités d’entreprise. Le puissant syndicat IG Metall serait prêt à approuver un ajournement général des augmentations de salaires à condition que le patronat propose des compensations.