Femme d’affaires, militante pour les droits de l’homme et membre du Sénat nommée par le roi, Mme Nunu sera aussi chargée de reprendre contact avec des juifs originaires de Bahrein qui ont quitté l’émirat après la première guerre israélo-arabe de 1948. A l’époque quelque 600 juifs vivaient à Bahrein. La nomination de Mme Nunu est considérée comme « un signe des valeurs de tolérance et d’ouverture », dit-on, à Bahrein. Il n’est cependant pas question pour autant d’une reconnaissance de l’Etat d’Israël.