Dans un discours de dix minutes à la télévision française, dimanche 27 février, Nicolas Sarkozy a justifié le remaniement de son gouvernement, le deuxième en quatre mois, par « l’ère nouvelle » ouverte par le soulèvement des peuples arabes. Pas un mot des bourdes de Michèle Alliot-Marie, renvoyée sans un mot de ses erreurs d’appréciation politique, de sa proximité avec le régime tunisien déchu,...