Vladislav Sourkov, le chef adjoint de l’administration présidentielle au Kremlin, avait introduit le concept de « démocratie souveraine » en 2006. Depuis, les cadres gouvernementaux proclament que l’Occident n’a pas le droit de s’immiscer dans les affaires intérieures de la Russie, particulièrement sur le chapitre des droits de l’Homme. Mais, relève l’éditorialiste du site en ligne du Moscow Times, le paradigme régissant le droit international depuis la seconde guerre mondiale établit que les violations flagrantes des droits de l’Homme concernent la planète entière, où qu’elles se produisent. Et il explique en quoi Poutine se trompe.
http://www.themoscowtimes.com/opinion/article/limiting-russias-sovereign-democracy/434718.html