Un épisode de la tempête numérique

La tempête provoquée par les révélations de Wikileaks qui a eu accès à plus de 250 000 dépêches de la diplomatie américaine, ne peut être comprise si on la considère isolément, explique Pierre Buhler, dans un commentaire publié par project-syndicate. Elle ne prend son sens que dans le contexte plus général de la « révolution numérique » dont les conséquences peuvent être aussi considérables que la révolution introduite par la découverte de l’imprimerie au XVè siècle. Mais la mise en réseau mondialisée, vantée naguère par une politologue américaine, Anne-Marie Slaughter, avant qu’elle ne devienne directrice de la planification au Département d’Etat, est à double tranchant. Lire l’intégralité du commentaire de Pierre Buhler sur www.project-syndicate.org