Dans la crise russo-géorgienne, l’Union européenne, pour une fois, a su agir de façon autonome et unie face à un événement d’ampleur à ses frontières, au delà de déclarations de principe ou de communiqués qui « constatent », « déplorent », « regrettent » ou « exhortent » sans souvent plus d’effets. L’activisme de Nicolas Sarkozy et la technique du fait accompli ont-ils sauvé l’Europe ?
C’est...