Sauf imprévu, il y a maintenant de bonnes raisons d’espérer la fin des violences entre les forces gouvernementales turques et le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), violences qui, durant vingt-neuf ans, ont fait plus de 40 000 morts. Cest du moins le sentiment qu’exprime Amberin Zaman, correspondant à Istanbul de l’hebdomadaire britannique The Economist, sur le site du German Marshall...