Au sommet atlantique de Lisbonne, la Turquie a eu satisfaction sur la plupart des points qui lui tenaient à cœur, estime Soli Özel, professeur de sciences politiques à l’Université Bilgi d’Istanbul, dans un commentaire publié par le German Marshall Fund. Y compris l’absence de mention de l’Iran et de la Syrie comme possibles sources de menace balistique. Quant à ses relations avec l’Union européenne, la Turquie doit trouver en elle-même les forces lui permettant de prouver son appartenance à la famille des démocraties occidentales. (Lire l’intégralité du commentaire en anglais sur www.gmfus.org)