Après plus de deux ans de vacance, le poste de président du Liban a été enfin pourvu, le lundi 31 octobre, avec l’élection du général Michel Aoun par le Parlement. Cette décision est le fruit d’un compromis entre le camp pro-occidental et le Hezbollah, la milice chiite proche de l’Iran.
Les apparences sont sauves. Les 127 députés du Parlement libanais se sont réunis, le lundi 31 octobre, à...