En choisissant de confier l’avenir d’Opel, la filiale allemande de l’américain General Motors, au conglomérat mené par l’équipementier automobile austro-canadien Magna, le gouvernement de Berlin a fait un choix éminemment politique, puisque les intérêts de Magna sont proches de la Russie de Poutine.
Certes, le choix de confier Opel à Magna se justifie au noms de priorités industrielles et...