Angela Merkel a résisté jusqu’au bout avant d’accepter finalement, lors du Conseil européen du 25 mars, que les Européens viennent en aide à la Grèce. Elle a posé comme condition l’intervention conjointe du Fonds monétaire international. Cette attitude de la chancelière, largement dictée par des considérations de politique intérieure, a suscité des doutes sur la pérennité de l’engagement...