Si une partie de l’Afrique va bien, attirant les investisseurs et justifiant le relatif optimisme de la communauté internationale, l’autre partie s’enfonce dans la misère, la violence et l’insécurité. C’est le cas de la zone sahélienne, dont la situation se dégrade, selon Serge Michaïlof, chercheur associé à l’IRIS, et menace le reste du continent. Principales causes de ce « cancer » : une démographie non...